Les carnets de Minna: recettes des détenues du camp de concentration de Terezin
Clémence Denavit
Le 30 avril en France, c'est la journée du souvenir des victimes de la déportation : victimes de la déportation pendant la Seconde guerre mondiale, et victimes aujourdhui d'autres conflits, d'autres déportations et des déplacements de population. Mais pourquoi le goût du monde en ce jour de souvenir ? Et quel lien avec la nourriture vous demandez-vous ?
De la même thématique Actualités
-
La Provence Vitrolles - Marignane
-
La Provence Marseille
-
L'Humanité magazine
-
L'Humanité
-
Capital
-
Dossier Enquêtes
-
Le Journal
-
CapMag Antilles
-
France-Antilles Hexagone
-
France-Antilles Guadeloupe
-
France-Antilles Martinique
-
La Croix
-
Ouest-France - édition France
-
Odiora, prothèses auditives et accessoires de mode avec Nathalie…
-
Jean Rouaud, écrire avant et après le prix Goncourt
-
Youssou N’Dour passion foot !
-
Le Café des Sports
-
Stéphanie Ash et sa Maison Ayaovi sous le signe de l’authenticité
-
Jean-Philippe Toussaint, le grand échiquier de sa vie et de son…
-
Le Café des Sports
Du même auteur Clémence Denavit
-
Le pèbè, une épice qui cache bien son jeu
-
A l’origine, l’huile d’olive
-
Sirops, glaces, confits, gâteaux et autres merveilles syriennes
-
La vraie pizza napolitaine: un geste, un savoir-faire et un héritage
-
Dia de los muertos, le jour des morts est une fête!
-
Nabil Attard, réfugié de Syrie, chef cuisinier du restaurant de son…
-
Un jardin des partages, de liens, du goût, de la vie !
-
Solidaire et solaire, le RECHO propose de cuisiner ensemble pour…
-
Mezzé : le regard, le souffle, l’âme, le repas conté
-
Saveurs indiennes
-
La cuisine des arbres
-
Douilles d'amour, plaisirs en poche, Jeffrey Cagnes: le bonheur…
-
Cuisine spirituelle
-
Atlas des épices, un tour du monde des saveurs
-
Les grains de blé font de la résistance
-
La révélation Injera
-
Arménie: de mémoire et d'âme, la cuisine en héritage, et partage à…
-
Akrame, d’instinct
-
Le poivre, l'or noir des épices
-
Daniel Briand, pâtissier à Brasilia, la liberté à bout de croissant