Science et communication : pour le meilleur ou pour le pire ?
L'ouvrage est consacré à l'impossibilité actuelle de bien communiquer la science. L'Europe manque d'une véritable culture dans ce domaine. L'analyse des crises récentes (Tchernobyl, OGM, vache folle, grippe aviaire) révèle des exemples flagrants d'incommunication publique. Cette situation handicape fortement les interactions entre science et société et l'appropriation, par le public, des avancées technoscientifiques. Pour développer une culture de la communication de la science, l'ouvrage propose notamment d'instaurer des « jurys d'assises de la technoscience » en systématisant voire en institutionnalisant les conférences de citoyens.