Reflet esthétique d'une aventure langagière, Mon univers est un lapsus, de Gilles Latour, repose sur la perception d'un univers - social et culturel, voire cosmique -, en mouvance constante, soumis à des forces essentiellement aléatoires qui déterminent des répercussions, tant chez les individus que dans les collectivités : conflagrations psychologiques, mutations des structures affectives, intimes et linguistiques, catastrophes dites naturelles.