Lorsqu’il gagne les élections présidentielles le 10 Mai 1981, le président François Mitterrand incarne le changement. Il est celui qui a promis « une ambitieuse politique à l’égard du Tiers-monde conforme à l’exigence de solidarité entre les hommes. »Une sacrée rupture, source d’inquiétude pour l’Afrique de Papa, les intérêts du pré-carré francophone vont-ils se dissoudre dans le tiers-mondisme du P.S. ?