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Les juges

Philippe Alkemade

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Au chant premier il y a lui et elle. Mais elle est la femme d’un autre. Le deuxième chant parle d’eau, comme on parlerait de la mer, d’une rivière, d’un lac, ou bien encore d’un étang nourri par une fontaine. C'est une source, la jeunesse où coule un peu d’illusion. Le troisième chant est fait d’arbres et de terre mêlés. Nous sommes dans une immense forêt où le soleil se perd. Dans le quatrième chant, on entend l’eau s’unir à la forêt. Ici aussi sont trois jeunes femmes, assises sur quatre pierres stériles. Écoutez-les rêver : Bhí eochair ann don t-sonas, eochair óir agus éabainn.

Nombre de pages : 79

Éditeur : Presses électroniques de France

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