Au bout du voyage, il y a l’Autre, quelques décalages à rattraper, des contraires à dénouer. Enivrée par une urgence tranquille, Mylène Bouchard fait l’éloge de la légèreté, de la solitude et de l’amour. La poésie mesure l’écart entre les êtres qui s’éloignent ou se rapprochent, se manquent ou se rencontrent.
Nombre de pages : 91
Date de publication :
Éditeur : Mémoire d'encrier