Dans Les Caprices de Marianne, en 1833, Musset nous présente les deux visages d’une jeunesse désenchantée. d’un côté, le ténébreux Cœlio, habité par un désespoir amoureux. de l’autre, son ami ironique, Octave, qui parie sur la dérision généralisée. Entre les deux, la capricieuse Marianne fait le mauvais choix – et Cœlio est tué à la suite d’une méprise. Douloureuse impasse du romantisme: mourir d’amour ou ne plus croire en rien.