Je parle un Je, un Iel et un Nous. Comme des langues apprises par les chattes harets qui donnent des coups de pattes dans le cul des étoiles ambidextres. Je suis un coup de gueule. Je suis une diva cup. Les miroirs sont toujours tête-bêche avec moi-iel qui ne mue mais pas de la voix, pas du déplacement des graisses, des cartilages qui binder ces monticules coniques de colostrum empoisonné. Et là où Je et Iel prennent une débarque dans le cosmos en cherchant le point de désaccord entre le Temps et l’Espace (lequel est arrivé en premier dans ce gang big bang) . nous sommes la marge en marche, nous montons la garde comme des chiennes-Cerbères salvatrices, nous avec des sexes comme des cress d’anges squatters d’enfer. Je tue je. Je conjugue iel. Je nous apprends l’essentiel de l’âme, que ce corps soit un bon ou un mauvais-sort, on peut toujours s’en sortir avec l’humour. Car, l’amour, fuck c’est jamais réciproque quand tu n’as qu’un ¾ de corps à deux.
Nombre de pages : 56
Date de publication :
Éditeur : Éditions L'Interligne