Dans La maison de ma mère, Souvankham Thammavongsa médite sur le sens que l’on donne aux moments et souvenirs d’enfance et aux marques laissées par le temps et la distance. Les animaux, la culture pop dans laquelle elle a grandi, l’histoire tragique du Laos, son pays natal, la guerre et les bombes, les vacances en famille et les vieilles photos sont autant de lieux et d’objets de mémoire et de silences. Les silences chargés, à leur tour, évoquent des événements des plus ordinaires aux plus traumatiques qu’on ne saurait aborder que par l’oblique, par fragments.
Nombre de pages : 59
Date de publication :
Éditeur : Mémoire d'encrier