« Ils m’ont tuée et je ne suis pas morte », ce sont les mots terribles et poétiques de Joséphine Kampiré, rescapée du génocide des Tutsi perpétré au Rwanda, d’avril à juillet 1994. Sur la colline de Nyarurama, aux environs de Kigali, Joséphine Kampiré nous raconte ce qui s'est passé sur sa colline.