Le doute apparaît ici comme un antidote à la folie meurtrière de ceux qui imposent leurs certitudes. Un certain dieu semble avoir la vie dure et s’ingénier, à travers ses prétendus représentants, à rendre l’existence des hommes tout à fait impossible. Devant la montée des intégrismes, force est de constater que l’intolérance religieuse n’est pas plus morte que ses dieux.