Maxime Olivier Moutier revisite son enfance à la lumière de celui qu’il est devenu, ou aurait pu devenir. Il se prête au jeu des souvenirs avec un sourire en coin et un admirable sens de l’exagération. Mais il y a aussi de la colère qui pointe, une colère qui ne décolère pas. Et une sensibilité qui ne dit pas son nom. Il y a, par-dessous tout, une infinité de questions sur les fondements de notre identité au regard de l’enfance.