Chaque année, des centaines de femmes quittent le Togo pour tenter leur chance à l’intérieur et à l’extérieur du continent africain. Un départ forcé pour l’aventure, souvent imposé par la famille, mais également un départ volontaire, déclenché par les propositions mirobolantes des recruteurs clandestins, relayées sur internet via les réseaux sociaux. Ces recruteurs sont aussi des recruteuses qui travaillent pour des agences de placement situées dans les pays de destination, en Afrique centrale, ou au Moyen-Orient, et sont à la recherche de travailleuses domestiques.