Pour écrire ce roman, Charles Le Goffic s'est inspiré d'un fait divers. Dans la nuit du 1er au 2 septembre 1882, un crime a lieu à Hengoat. Un jeune paysan est retrouvé bâillonné, étranglé et crucifié. Le procès du 20 avril 1883 se clôt par l'acquittement des accusés, la sœur et le beau-frère de la victime. Le récit de ce crime constitue la trame du Crucifié de Keraliès, un roman régionaliste, dur et réaliste.