Pourquoi briser le silence lorsqu’on a fait carrière dans l’Armée française, où l’on a commandé pendant plus de 25 ans au titre d’officier ? Pourquoi revenir sur son expérience militaire acquise à hauteur d’homme sur trois grands théâtres de la violence extrême : le Cambodge, l’ex-Yougoslavie et le Rwanda, alors qu’on a rempli sa mission ? Pourquoi écrire un livre, puis deux, puis trois, dans l’indifférence générale de l’opinion publique française et des partis politiques ?