Du Régina, voir la merAnthony FrontenacRoman de 312 000 car., 52 000 mots, le livre papier fait 202 pages.Du Régina, voir la mer explore la naissance d’un amour charnel entre Rose, une femme mûre et énigmatique, et Dwight, un patineur et enseignant de trente ans son cadet. Animé par sa soif de vivre, Dwight vend parfois ses charmes, principalement auprès d’hommes, mais la rencontre de Rose, dans le célèbre ancien hôtel de Nice, vient faire exception. Comme une carte postale de la Côte d’Azur ou d’Alger, où Rose a vécu après l’indépendance de 1962, le texte nous entraîne des deux côtés de la mer sur des chemins parallèles. S’y joue une ode à la vie, dans ce qu’elle peut offrir de beau ou de douloureux, leçon de dépendance ou de fragilité.