Photographié par Malick Sidibé, un couple gesticule joyeusement dans un club à Bamako. Nous sommes dans les années 60 et pour la première fois, la jeunesse bamakoise s’émancipe des codes traditionnels. Mais, elle n’est pas la seule. À Dakar, Ouagadougou ou Abidjan, les transistors diffusent les chansons des idoles des jeunes, de Johnny Halliday à Boubacar Traoré en passant par Aretha Franklin. Urbaine et scolarisée, la génération yéyé danse pour s’émanciper !